Camparan

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Camparan
Camparan
Vue du village.
Blason de Camparan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Aure Louron
Maire
Mandat
Frédéric Fines
2020-2026
Code postal 65170
Code commune 65124
Démographie
Gentilé Camparanais
Population
municipale
53 hab. (2021 en diminution de 10,17 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 50′ 20″ nord, 0° 21′ 21″ est
Altitude Min. 790 m
Max. 1 620 m
Superficie 2,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Neste, Aure et Louron
Législatives Première circonscription
Localisation
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Camparan
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Camparan
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Camparan
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Camparan

Camparan est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par divers petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Camparan est une commune rurale qui compte 53 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 115 habitants en 1851..

Ses habitants sont appelés les Camparanais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte interactive de Camparan
  • Limite communale
  • Mairie

    La commune de Camparan se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 49 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 30 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 29 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Guchan (1,1 km), Grailhen (1,1 km), Bourisp (1,7 km), Bazus-Aure (2,1 km), Estensan (2,3 km), Vielle-Aure (2,5 km), Sailhan (2,7 km), Azet (3,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Camparan fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[5].

    Camparan est limitrophe de cinq autres communes dont Estensan à l'ouest par un simple quadripoint, à la Coume Escure.

    Carte de la commune de Camparan et des proches communes.
    Communes limitrophes de Camparan[6]
    Guchan
    Bourisp Camparan Grailhen
    Estensan
    (par un quadripoint)
    Azet

    Hydrographie[modifier | modifier le code]

    La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Cuhéret, constituant un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Climat[modifier | modifier le code]

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 7,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 052 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Génos », sur la commune de Génos, mise en service en 1969[14] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 7,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 483,6 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 49 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[21] : le « massif entre les Nestes d'Aure et du Louron » (2 749 ha), couvrant 16 communes du département[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[21] : la « Haute vallée d'Aure » (43 605 ha), couvrant 38 communes du département[23].

    Urbanisme[modifier | modifier le code]

    Typologie[modifier | modifier le code]

    Camparan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 2],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

    Occupation des sols[modifier | modifier le code]

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (75,7 %), prairies (20,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Logement[modifier | modifier le code]

    Vue générale du village.

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 60[I 5].
    Parmi ces logements, 53.8  % sont des résidences principales, 46.2  % des résidences secondaires 0.0  % des logements vacants.

    Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

    Cette commune est desservie par les routes départementales D 25 et la D 115.

    Risques majeurs[modifier | modifier le code]

    Le territoire de la commune de Camparan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[29]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001 et 2009[30],[27].

    Camparan est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[31]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Camparan.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[32].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa faible (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 45 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[27].

    Toponymie[modifier | modifier le code]

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Camparan au nord de Saint-Lary

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[35] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénomination historique :

    Étymologie : probablement domaine antique formé sur le nom de personnage latin Camparius et suffixe anum (< an en gascon).

    Nom occitan : Camparan.

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Préhistoire[modifier | modifier le code]

    Antiquité[modifier | modifier le code]

    Moyen Âge[modifier | modifier le code]

    Temps modernes[modifier | modifier le code]

    Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

    Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

    Monographie[modifier | modifier le code]

    Cadastre napoléonien de Camparan[modifier | modifier le code]

    Le plan cadastral napoléonien de Camparan est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[37].

    Politique et administration[modifier | modifier le code]

    La mairie en 2015.

    Liste des maires[modifier | modifier le code]

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
        Bertrand Soulans    
        Jean Rumeau    
      2001 Jean Vidal    
    mars 2001 mars 2014 Didier Moreilhon    
    mars 2014 en cours Fréderic Fines    

    Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

    Historique administratif[modifier | modifier le code]

    Sénéchaussée d'Auch, pays des Quatre-Vallées, vallée d'Aure, canton d'Arreau puis de Vielle-Aure (1790-2014)[38].

    Intercommunalité[modifier | modifier le code]

    Camparan appartient à la communauté de communes Aure Louron créée au 1er janvier 2017 et qui réunit 47 communes.

    Services publics[modifier | modifier le code]

    Population et société[modifier | modifier le code]

    Démographie[modifier | modifier le code]

    Évolution démographique[modifier | modifier le code]

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[41].

    En 2021, la commune comptait 53 habitants[Note 8], en diminution de 10,17 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

    Évolution de la population  [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    697075107115100111110115
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    11110193869290919497
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    737676806958585248
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    484342425054586255
    2021 - - - - - - - -
    53--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune ne compte que 54 habitants fixes, mais lors des saisons hivernales du ski ou au contraire estivales, les résidents peuvent monter jusqu'à 72. En effet, la moitié des habitations ne sont que des résidences secondaires.

    Enseignement[modifier | modifier le code]

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2019[44].

    Économie[modifier | modifier le code]

    Emploi[modifier | modifier le code]

    Taux de chômage
    2008 2013 2018
    Commune[I 6] 0 % 4,3 % 10,8 %
    Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
    France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 38 personnes, parmi lesquelles on compte 91,9 % d'actifs (81,1 % ayant un emploi et 10,8 % de chômeurs) et 8,1 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 13 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 32, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 70 %[I 10].

    Sur ces 32 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

    L'église Sainte-Luce, Saint-Vincent.
    Le lavoir en 2015.

    Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

    Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

    Héraldique[modifier | modifier le code]

    Blason Blasonnement :
    D'azur à une tour d’argent posée sur un mont de sinople et surmontée d'un soleil d'or.
    Commentaires : blason officiel vérifié auprès de la mairie.

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

    La fontaine de Camparan.
    La fontaine.

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    • Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées - Michel Grosclaude, Jean-François Le Nail intégrant les travaux de Jacques Boisgontier - Conseil Général des Hautes-Pyrénées - Mission culture occitane - 4e trimestre 2000
    • Les sobriquets des villages aurois - Frantz-E. Petiteau - Éditions Lacour - Cercle François Marsan - 3e trimestre 2003
    • Les vieilles inscriptions de la vallée d'Aure - Abbé François Marsan - Éditions Lacour

    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Liens externes[modifier | modifier le code]

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Notes et cartes[modifier | modifier le code]

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Camparan » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Références[modifier | modifier le code]

    Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

    1. a b et c « Métadonnées de la commune de Camparan » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Camparan
    6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Camparan » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Camparan » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources[modifier | modifier le code]

    1. Stephan Georg, « Distance entre Camparan et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Camparan et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Camparan et Capvern », sur fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Camparan », sur villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 281-282.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Fiche communale de Camparan », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
    9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Génos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Camparan et Génos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Génos - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Camparan et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    21. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Camparan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « massif entre les Nestes d'Aure et du Louron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF la « Haute vallée d'Aure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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